Les Simon de Carpentras bénéficient d’une bonne documentation grâce à plusieurs articles :

Disponible sur Gallica
« Sonnailles provençales, Les Simon, artisans carpentrassiens » par Robert Caillet, Conservateur de la bibliothèque Inguimbertine et du musée de Carpentras, dans Revue de Folklore Français et de Folklore Colonial. – Tome XIII – N° 3 – Juillet/Septembre 1942.
Robert Caillet, A. Taverne, L. Taverne, G. Jeanton, Dr Le Tessier, Comte Bégouen, Dr Albert Sallet, Jean Tricoire, Raymonde Tricoire, Edité par Paris : Librairie Larose, 1942.
L’histoire, la généalogie et le détail de chaque cloche.

« Cloches et sonnailles du Comtat », Jean-François Delmas, Sabine Cotté, Stéphane Scott, dans Etudes comtadines N° 13, octobre 2010 : avec une étude technique (tailles et notes) de la collection du musée de Carpentras, datée de 1937, donnée au musée par la famille Simon ; visite incontournable pour l’amateur de sonnailles

 

Alain Barnicaud a eu la gentillesse de nous donner des copies d’entêtes et de catalogues

Une photo d’Eugène Simon et de son épouse est reproduite dans le livre « Sonnailles et clarines en France » de Robert Schwaller, page 29, on en connait pas le source.

La fabrication aurait cessé vers 1956. Néanmoins, le dernier Simon continuait à vendre sur les foires, principalement celle de Guillaumes (Alpes-Maritimes) sans préciser que les sonnailles provenaient de l’atelier d’Aubagnac à Castanet-le-Bas (Hérault). Albert Aubagnac riait bien lorsque les bergers lui affirmaient que celles de Simon étaient meilleures que les siennes (Source Rémi Bonnel, maintes fois confirmée !).